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La Datcha, un voyage culinaire
Un restaurant empreint de poésie, l’un de ceux qu’il faut goûter au moins une fois dans sa vie. Voici ce que nous évoque La Datcha lorsque nous y repensons. Cette « maison de campagne chic » du XIe arrondissement de Paris réserve de nombreuses surprises à quiconque s’installe à son comptoir, ouvrant sur la cuisine, ou à l’une de ses tables — placées sur des bottes de paille pour, jusqu’aux moindres détails, arborer le cadre moderne et rustique que souhaitait le chef.
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Située dans un cadre de bistrot champêtre, La Datcha a su se réinventer en proposant chaque week-end un brunch gastronomique. Ce nouvel événement dominical est rapidement devenu incontournable pour les amateurs de bonne cuisine. Ce brunch ne se limite pas aux viennoiseries. Pour satisfaire toutes les envies, la formule inclut non seulement les options du petit-déjeuner, mais aussi un menu complet.
En entrée, le chef propose un œuf poché Bénédicte, couronné d’une pâte feuilletée et accompagné d’un sabayon au vin jaune, une véritable explosion de saveurs en bouche. Pour le plat principal, les convives peuvent déguster un pressé de volaille, un choix qui allie finesse et gourmandise. Enfin, les desserts, toujours créatifs, varient au fil du temps. Parmi les créations récentes, on peut citer le crown-kie, une couronne de pâte feuilletée avec un topping de pâte à cookie, ou encore une délicieuse tarte aux fraises gariguettes.
La Datcha, 62 Rue Jean-Pierre Timbaud, 75011 Paris
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7. Le resto bistronomique aux airs de maison de campagne, La Datcha, qui propose une cuisine française traditionnelle avec quelques touches ukrainiennes signée chef Maksym Zorin.
62, rue Jean-Pierre-Timbaud – 11e
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Envolé de la galaxie Ducasse, le chef Maksym Zorin ouvre La Datcha, son premier restaurant bistronomique aux influences ukrainiennes.
A l'image d'une maison de campagne où recevoir ses proches, le chef Maksym Zorin dévoile La Datcha, dans le 11e arrondissement de Paris, son nouveau et premier restaurant en son nom. Au fil des années, le chef s'est formé à la grande cuisine française au sein d'établissements renommés de la galaxie Ducasse - Le Meurice, Ore au Château de Versailles, Allard, Ducasse sur Seine.
C'est donc tout naturellement qu'il ouvre, en cette rentrée, sa première table en tant que chef-propriétaire à seulement 29 ans, avec un beau bagage pour que celle-ci soit une réussite.
Il règne, dans ce grand restaurant de 230m2 réparti sur deux niveaux, une atmosphère champêtre et reposante, comme une escapade à la campagne sans quitter la ville. Et ce, du lever au coucher du soleil, la Datcha étant ouvert au petit-déjeuner, au déjeuner, au goûter et au diner.
A la carte, une réinterprétation moderne de la cuisine française traditionnelle, élaborée à partir de produits du terroir français en pleine saisonnalité, comme les viandes et volailles françaises de la boucherie Racine, ou les vins eux-aussi intégralement tricolores.
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Une datcha (maison de campagne ukrainienne) en plein onzième ? On ne dit pas niet ! Dans un maous espace érigé sur les cendres de feu L’Autre Café (sol en mosaïque, comptoir marbré, mezzanine), le chef Maksym Zorin balance des assiettes tout sauf rustiques. Cette fois-là, le ducassien débitait une pimpante formule déj’ depuis la cuisine ouverte : soyeuse déclinaison de butternut (rôti et en jus corsé), plus chou-fleur en purée, anchois, œufs de truite et poutargue ; pavé de maigre cuit à basse temp’ et cerné de satellites bien sentis (purée de salsifis, suprêmes de pomelo, joli tartare de betterave au raifort, kumquat et pickles de radis) ; avant, en dessert pâtissier, une solide galette des rois choco-noisette. Sinon, à la carte midi et soir, des classiques judicieusement relookés, dont un pressé de cochon façon bortsch, et pour les matins câlins, un petit déj’ concocté par Anthony Nguyen (croissants, pains au chocolat), augmenté le samedi avec (entre autres) du granola. // Will Tippin
POUR LA SOIF ? Une carte vineuse au profil plutôt classique (vermentino corse du Domaine Fiumicicoli à 35 € la bouteille, gevrey-chambertin d’Harmand-Geoffroy à 105 €), où piocher tout de même les cool quilles nature du domaine héraultais Ribiera (8 € le verre de blanc).
LES PRIX : menus 29-38 € (midi), carte 49-67 €, menus carte blanche 70-110 €. Formules petit déj’ 7-8 (25 € samedi).
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Après des mois à mettre la main à la pâte pour transformer ce vieux café du coin, situé à l'angle de la rue Jean-Pierre Timbaud, inutilisé depuis huit ans et qu’ils viennent de reprendre, le chef Maksym Zorin et Margaux Pommier viennent d’ouvrir le restaurant La Datcha. Un restaurant aux airs de « maison de campagne », cosy, sur deux niveaux, avec des tables faites de bottes de foin. Un restaurant plutôt atypique qui mélange restaurant bistronomique et lieu de vie, ouvert également en dehors des services pour un croissant, un café, une pâtisserie au petit-déjeuner ou au goûter… La cuisine occupe une place importante, on a presque l’impression qu’elle se trouve au milieu du restaurant. Plus ouverte qu’ailleurs, on peut même s’y installer sur le plan de travail, face au chef.
Sur la courte carte du restaurant La Datcha, le chef réinterprète de façon moderne la cuisine française traditionnelle. La formule déjeuner est plutôt élevée par rapport à nos habitudes dans ce quartier (38€ entrée plat dessert, avec un flan comme dessert). Alors pour le peu de surplus qu’on risque de payer en se tournant vers la carte, on se laisse un peu plus de liberté. Une demi-double baguette faite sur mesure par la boulangerie voisine Polka est servie en début de repas, un côté tradi’ et l’autre côté aux graines. Et pour l’accompagner, une assiette de trois beurres maison bien sûr, aux algues, piment d'Espelette et fleur de sel, et beurre doux. Petit geste qui fait son effet, qu’on voit plus habituellement dans les restaurants gastronomiques. Le chef formé dans le groupe Ducasse n’a pas oublié les bonnes manières.
Place à l’entrée, un Maquereau à la flemme (14€). La présentation est très soignée, le savoir-faire acquis par le chef dans les grandes maisons se retrouve dans cette assiette de saison où la gourmandise du houmous de carottes sables et du beau jus réduit de potimarron (qu’on terminera comme un shot, tellement bon…) se mêle à la fraîcheur des petits légumes et à l’acidité du condiment gel. Ça démarre très bien sur cette entrée, la suite en sera tout aussi bien avec le Quasi de veau cuit à basse température (28€), onctueuse purée de panais et onctueuse crème de coriandre au siphon, également complété par un beau jus perlé. Petits navets, carottes et radis délicatement taillés pour accompagner. Le dessert assure autant, Poire pochée (10€) où la poire est travaillée dans son intégralité, avec cette glace maison aux épluchures de poire et miel, et un gel fait de l’eau de cuisson. Dans le fond de l'assiette, un envoûtant pralin et un petit crumble apportent encore un peu plus de texture et de gourmandise. Entre cette belle cuisine et l'agréable accueil, aucun doute, on reviendra au restaurant La Datcha, et pourquoi pas au dîner pour se laisser tenter par l’une des deux formules dégustation du chef (70€ et 110€) façon carte blanche.
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Passé par Le Meurice, Allard ou encore Ducasse sur Seine, Maksym Zorin a choisi le 11e arrondissement de Paris pour créer sa 1ère table. Il y ouvrira La Datcha Paris courant octobre.
Le jeune chef a pensé cette première adresse comme une maison de campagne, chaleureuse et accueillante. Côté décoration, la part belle sera faite à la nature, grâce aux fleurs séchées et au foin. Un mur à l’effet décrépi et de grandes banquettes à coussins viendront compléter l’ensemble, pour une atmosphère cosy. Divisé en deux salles distinctes et supervisées par la directrice de l’établissement Margaux Pommier, le lieu comptera 60 couverts.
Maksym Zorin délivrera une cuisine française traditionnelle et moderne, dans laquelle seront infusées quelques influences ukrainiennes. Parmi les plats suggérés à la carte (entre 25€ et 34€), le chef proposera ainsi une Joue de bœuf braisée façon Bortch, crème au raifort, brioche aillée, qui mêlera les deux cultures.